COMMERCIALISATION DU SABLE À PARAKOU: Quand l’intérêt personnel prime sur le collectif.

Mauvaise foi dans la commercialisation du sable dans la ville de Parakou. Plusieurs quartiers sont victimes de ce phénomène qui contribue à la dégradation des voix secondaires de la cité des Kobourou. Le constat est remarquable et reste écoeurant lorsque des individus privilégie l’intérêt personnel à celui général.
Le ramassage du sable dans les caniveaux après les ruissellement d’eaux revêt une activité génératrice pour plus d’un à Parakou. En revanche il est déplorable de remarquer que des individus pour arriver à leur fin utilisent des méthodes malsaines. Le constat fait état est que ces personnes utilisent des briques pour empêcher le passage d’eau des caniveaux près de leur concession. Le blocage d’eau permet à ces derniers d’avoir un stockage en quantité de sable à revendre. C’est sans pensé aux conséquences de cet acte qui permet aux eaux de ruissellement de déborder sur les voix secondaires de la ville.
Cette pratique contribue donc à la dégradation avancée de nos voix. La remarque est faite dans des quartiers comme: Zongo Il dans la von du Collège d’Enseignement Général ZongoII ( CEG Zongo II), dans le quartier petit paix etc.
‹‹ Oui c’est réelle cette situation que nous vivons dans notre quartier, mais on ne peut rien faire pour les en empêcher ›› affirme monsieur Issa rencontré au quartier Zongo. Il demande par ailleurs la clairvoyance des autorités municipales pour décourager ce genre de comportement qui ne fait pas honneur à la troisième ville à statut particulier du Bénin. Cette situation a contribué à l’impraticabilité de la von du CEG Zongo II de Parakou il y a un moment mais risque de reprendre après les travaux faits par la mairie. Ces individus ont déjà repris leur habitude poursuit monsieur Issa.
La responsabilité revient donc aux autorités de la ville pour le découragement de tel comportement dans la cité des KOBOUROU. Chaque citoyen doit avoir un comportement civique pour le développement de notre chère commune.
La rédaction