IMPRATICABILITÉ DES VOIES DANS LES QUARTIERS DE PARAKOU: Les riverains sont en difficultés

C’est une consternation général dans la ville de Parakou. En effet, certaines rues de la Cité de Kobourou sont déjà impraticables et les riverains vivent un véritable calvaire pour vaquer à leurs occupations. Les grandes pluies qui s’abattent ne font qu’aggraver la situation. Presque tout les quartiers de Parakou sont victimes et se plaignent à longueur de la journée.
Le phénomène d’érosion modifie la forme et l’hydrologie des milieux. Il entraîne également une dégradation très avancée des voies et rend ces routes impraticables pour les paisibles populations. Nombreux sont les quartiers de la ville de parakou à être touché par le problème d’impraticabilité et d’inacessibilité des routes. Les habitants de ces quatiers vivent le calvaire depuis des années à chaque saison pluvieuse .
L’investigation menée sur le terrain révèle des propos unamines chez tous les riverains . Carole Atakogni affirme «qu’avec l’état de la voie actuelle, c’est très compliqué pour les piétons, les motocyclistes, et surtout pour les enfants de circuler en toute sécurité. Espérant qu’en fin les autorités se penchent sur la question».
Alors c’est a croire que circuler à travers les quartiers de Parakou, à moto, voiture ou même à pied, en ces temps de pluie nécessite d’un véritable parcours de combattant. Aucun quartier de Parakou n’est à l’abri de cette situation qui cause beaucoup de désagréments à la population.
Même son de cloche avec Rufin Hougbèmin un conducteur de taxi moto rencontré au quartier Ghanon confie « moi je demande vivement l’aide de l’autorité, il faut qu’ils viennent en aides, parce que nous avons plus de bonne voie a Gahnon tout est dégradée et impraticable, ceux qui ne savent pas se heurtent parfois dans ses trous inattendus. Quand il fait nuit d’autre se cassent le genoux et c’est vraiment triste». «je souhaiterais qu’ils nous installes des caniveaux pour orienter l’eau. Cela peut nous sauver sinon ça va pas du tout. Des nids de poule un peux partout et nos motos se gattent presque tous les jours, vraiment nous demandons pardon aux autorités» poursuit – il
L’état des voies ne leur facilite pas du tout les choses.
A cet effet, selon les déclarations précédentes, les populations lancent un cri de cœur à l’endroit du maire Inoussa Chabi Zimé pour qu’une solution soit trouvée.
Une jeune étudiante du nom de micheline Hounkpèvi, rencontrée au quartier Nima dépassée par l’état des voies, clame « quitter chez soi est d’abord un problème à cause des voies on a du mal a circuler. En plus ,
« Nous exhortons donc les autorités à se pencher sur la rénovation de ces voies qui causent des désagréments aux paisibles populations» ajoute t-elle.
Le constat fait état de plaintes d’origines diverses mais toutes convergentes vers un point fondamentale qui est la réparation de la voie .
Hector Q.C. Avih